dimanche 1 décembre 2013

"L’homme qui vivra 1.000 ans… est déjà né !"

 

Santé "On a commencé à euthanasier la mort"

Cette prophétie aussi incroyable que surprenante est signée Laurent Alexandre. Un simple aperçu de son curriculum vitae impressionne déjà:
chirurgien-urologue et neurobiologiste, diplômé de Science Po, d'HEC et
de l'ENA, fondateur de Doctissimo et auteur de l’essai ‘La mort de la mort’. Ce Français vivant à Bruxelles s’est penché sur les bouleversements de
l'humanité face aux progrès de la science en biotechnologies. Son
constat a de quoi interpeller. Il s'est confié à nos confrères de
LaLibre.be.

Lors de vos conférences, vous concluez "l’homme qui vivra 1.000
ans est  probablement déjà né !". Cela sonne comme une provocation…


Non, c’est une conviction. Il est probable que l’homme qui vivra
1.000 ans est déjà né. Je n’ai pas dit qu’il s’agirait de quelqu’un de
mon âge, ni que cela est possible avec les technologies actuelles.
Quelqu’un qui naît aujourd’hui aura 90 ans en 2103, il bénéficiera des
nombreuses innovations en nano-biotechnologie juste inimaginables
aujourd’hui. Il s’agît de cellules souches, de thérapies géniques, de
séquençage de l’ADN et de futures innovations -inconnues à l’heure
actuelle- qui vont radicalement changer l’espérance de vie des humains.

Mais l’espérance de vie peut-elle s’envoler à ce point ?

En 250 ans, l’espérance de vie en Belgique a triplé, passant de 25 à plus de 80 ans. Actuellement, elle croît de 3 mois par an. En clair,
quand on vieillit une année, l’on ne se rapproche de sa mort que de 9
mois. A partir de là, il faut être conscient que toutes technologies qui permettent de modifier nos comportements biologiques ont une croissance de leurs capacités comparable à l’explosion des microprocesseurs avec
la Loi de Moore.


Ce qui signifie un doublement rapide de ces technologies.

Oui, contrairement à l’automobile, l’aviation et autres secteurs où les progrès sont lents. Prenons un seul exemple, le coût du séquençage
ADN a été divisé par 3 millions en seulement 10 ans : le premier a pris
13 ans, mobilisé 22.000 chercheurs à travers le monde et coûté 3
milliards de dollars. Demain, il prendra quelques heures et coûtera 100
dollars. Alors qu’en 1990, tous les savants affirmaient que ce serait - à jamais - impossible à réaliser, on dénombre aujourd’hui 1 million
d’humains dont l’ADN a été séquencé.

Quel est l’intérêt de séquencer l’ADN de tous les humains ?

Ce séquençage offre une lecture des 3 milliards d’instructions ou
messagers chimiques présents dans nos chromosomes, soit notre identité
biologique qui définit la manière avec laquelle nous sommes construits. A partir de cette lecture, on a une idée précise des pathologies qu’on va avoir et des traitements à appliquer. Dans un premier temps, nous
savons lire mais pas encore modifier notre ADN. Dès les années 2018, le
bricolage de nos chromosomes deviendra possible. La modification de
l’ADN sera même une chose banale dans la prochaine décennie ! Ces
technologies nous offrent donc une explosion de notre capacité à changer notre nature et donc à faire reculer la mort.

Quand on évoque la mort de la mort, on pense immédiatement aux
cancers qui touchent en moyenne 1 Belge sur 3. Vous en tenez compte ?


Progressivement et d’ici 2025-2030, le cancer va devenir une
maladie banale et chronique, et ce, au même titre que le Sida l’est
devenu dans les pays développés grâce aux quadrithérapies. Le cancer ne
disparaîtra pas, mais on pourra le traiter facilement et il ne modifiera pas notre espérance de vie à l’avenir.

Concrètement, la science nous permettra de rééditer notre ADN et de remplacer certaines cellules par des composants électroniques ?

Les composants électroniques, on a commencé à le faire. Voyez les
pacemakers qui suppléaient les cellules cardiaques défaillantes, les
implants dans le cerveau contre la maladie de Parkinson qui remplacent
les cellules spécialisées ou encore les implants qui permettent de
combler les problèmes de surdité. L’hybridation de notre corps avec des
composants électroniques est en cours et va s’accélérer.  Quant à la
démocratisation de ces technologies, je n’ai pas d’inquiétudes : le prix devrait baisser très rapidement. Rappelez-vous que certains
spécialistes étaient très sceptiques en voyant les premiers téléphones
portables ou appareils photo numériques. Ils estimaient que cela ne
marcherait jamais à cause du prix. La société Kodak a complètement raté
le train numérique…

Vivre 1.000 ans, cela a un côté angoissant, non ?

Cela fait 250 ans que nous avons commencé à euthanasier la mort. Si ce phénomène devrait s’accélérer avec les nano-biotechnologies,  ce
serait un processus progressif, tant aux niveaux social, politique,
philosophique que religieux. On ne verra pas demain surgir un homme de
350 ans, nous avons donc le temps de nous y faire et de nous adapter.
D’ailleurs, en 2013, personne ne revendique un retour à une espérance de vie de 25 ans !

En tant que chirurgien, vous pensez qu’on ne touchera plus les patients lors d’opérations ?

La robotique chirurgicale progresse de manière très rapide. D’ici
15 ans, on peut raisonnablement penser que nous serons opérés par des
robots, dont les capacités seront nettement meilleures que celles des
humains.

Dans le milieu scientifique, votre thèse est-elle soutenue par

d’autres spécialistes ? On a un peu le sentiment que vous êtes seul à
être si affirmatif.


Je ne prétends pas être un gourou qui vend des pilules magiques qui vont augmenter l’espérance de vie. Je ne suis pas un nouveau Rika
Zaraï. En revanche, je suis un spécialiste des nano-biotechnologies qui
évalue la manière avec laquelle ces technologies vont changer. Il y a un courant de pensée aux Etats-Unis pour envisager une forte augmentation
de l’espérance de vie, mais les technologies dont je vous parle
(cellules souches, séquençage ADN,…) sont très récentes ! Le corps
médical commence juste à découvrir ces technologies qui semblaient
‘impossibles’. Ils envisagent à peine les possibles applications
futures. En Belgique, une majorité de médecins ignorent encore qu’on
sait séquencer les 3 milliards d’instructions de l’ADN ! Il va falloir
quelques années pour apprendre aux médecins les potentialités des
nano-biotechnologies. Ce n’est que le début de la fin de la mort.

1 commentaire:

  1. La maladie du vih au cours des 3 dernières années et des douleurs difficiles à manger et la toux sont des cauchemars, en particulier la première année. À ce stade, le système immunitaire est sévèrement affaibli et le risque de contracter des infections opportunistes est beaucoup plus grand. Cependant, tous les séropositifs ne développeront pas le sida. Plus tôt vous recevrez un traitement, meilleur sera votre résultat. J'ai commencé à prendre des antirétroviraux pour éviter une mort prématurée, mais je croyais en Dieu qui me guérirait un jour. En tant que brevet pour le VIH, nous vous conseillons de prendre des traitements antirétroviraux pour réduire nos chances de transmission du virus à d'autres personnes, il y a quelques semaines, je suis allé à la recherche sur Internet si je pouvais obtenir des informations sur le traitement du VIH par la phytothérapie. Sur ma recherche, j'ai vu le témoignage d'une personne qui avait été guérie du VIH et qui s'appelait Achima Abelard. et un autre brevet concernant le virus de l’herpès, Tasha Moore, témoignant à propos de ce même homme, appelé le Dr Itua Herbal Center.J'ai été ému par le témoignage et je l'ai contacté par son adresse Email.drituaherbalcenter@gmail.com. Nous avons bavardé et il m'a envoyé une bouteille de la médecine je l'ai bu comme il me l'avait demandé. Après l'avoir bu, il me demande de passer un test pour savoir comment j'ai mis fin à ma vie de brevet d'invention du VIH, je suis guéri et libre d'Arv Pills. Je lui en serai toujours reconnaissant. Drituaherbalcenter .Ici son numéro de contact +234 8149277967 ... Il m'assure qu'il peut guérir la maladie suivante..Virus, Cancer, Virus de l'herpès, Maladie de Lyme, Épilepsie, Cancer de la vessie, Cancer colorectal, Cancer du rein, Cancer du rein, Leucémie, Cancer du poumon, Lymphome non hodgkinien, Peau Cancer, Lupus, Cancer utérin, Cancer de la prostate, Fibromyalgie, SLA, Hépatite, CTPD, Maladie de Parkinson. Maladie génétique, Fibrodysplasie, Fibrodysplasie évolutive, Syndrome de toxicité pour la fluoroquinolone, Syndrome de toxicité du foie / du rein, Inflammation des hommes et des femmes, Maladie , Diabète, fibromes ...

    RépondreSupprimer